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Swingapoul
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7 janvier 2007

Yeuk!!

Il en existe près de 4000 sortes.

Parmi elles, il y a :

-          la Germanique. Petite et beige, elle peut voler. (Ich bin das horribleuh Deutsche Beteuh, toute yeuk !!)

-          L’Orientale, Un peu plus grande (2 à 2,8 cm), elle est assez sombre et seul le mâle peut voler.

-          Et enfin, l’Americaine, celle qui est bien grosse (2,5 à 3,2 cm), qui vient d’Afrique en fait et qu’on trouve sous les tropiques. En France, on la voit dans les serres ou dans les égouts mais elle meurt très vite car il fait trop froid et trop sec pour elle. L’Asie, c’est son paradis terrestre…..et Swingapoul est en Asie…..et oui….si si !

Ces bêtes toutes yeuks, sont grégaires et peu sociales, c’est-à-dire qu’elles vivent en colonie, planquées, mais qu’elles ne se partagent rien. Elles sont omnivores mais peuvent manger le corps d’une de leur compatriote morte. Bref : elles sont charmantes !

Servent-elles à quelque chose dans la vie ? Il paraît que oui car la nature est bien faite. Quand elles ne sont pas dans votre cuisine mais bien là où elles devraient  être, c’est-à-dire dehors, loin, loin, loin, ces bébêtes à pattes mangent les végétaux morts. De ces grignotages découlent des excréments eux-mêmes grignotés par des insectes plus petits dont les excréments conséquents sont  mangés par  des bactéries, le tout rendant le sol plus fertile pour les plantes qui se remettent à pousser, à se faner, générant des végétaux morts, que les bénêtes remangent….j’vous la refais pas, je pense que vous avez compris.

De quoi je vous cause depuis 10 minutes? Des blattes, évidemment. Cafards, blattes, coquerelles pour les Québequois. Et vous l’aurez deviné : l’HI et moi en avons trouvé une dans notre cuisine. Et quelque chose me dit que ce ne sera pas la dernière.  Notamment parce qu’il fait chaud et humide. Mais aussi parce qu’apparemment, les blattes sont si résistantes, qu’en cas d'explosion nucléaire anéantissant l'humanité, elles survivraient.

A Amsterdam, c’était les souris.

A Swingapoul,  ce sont les  blattes.

Prochaine destination : la Lune…y’a pas de vie là-haut, n’est-ce pas ?

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Commentaires
D
ma première expérience des blattes, c'était à Paris! Et beurk, j'ai encore l'odeur du Baygon vert qui remonte ... enfin, on n'en meurt pas, c'est le principal, isn't it?<br /> <br /> J'adore ces derniers posts,et surtout celui de la galette. hi hihi!<br /> <br /> bizzzzz<br /> nb: j'appelle dès que possible, no noucy guy
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